DENTIST CARE

L’Assurance maladie à validé ces trois propositions de soins sans rechigner

Comment ? En faisant parvenir trois demandes d’entente préalable plus loufoques les unes que les autres à une Caisse primaire de la région parisienne. Demande de prise en charge au-delà de la durée légale de 6 semestres, lampe à polymériser  implantations de dents supplémentaires (!) ou au contraire extractions inutiles… 

L’Assurance maladie à validé ces trois propositions de soins sans rechigner. Validation implicite, puisque deux semaines après l’envoi de la demande à la caisse primaire, son silence vaut pour acceptation. Rien d’étonnant à ces résultats, pointe un ancien agent interrogé par Capital : « La moitié des micro moteur marathon  dossiers que nous recevons atterrissent directement à la poubelle ». En 2012, plus d’1,5 million de patients de moins de 16 ans ont bénéficié d’une prise en charge de soins d’orthodontie. Il faut imaginer tous ces assurés se rendant à la poste pour adresser une demande que les agents de leur caisse ne regarderont jamais. Plus d’1,5 million d’euros pourraient être économisés en timbre si l’Assurance maladie se décidait enfin à admettre qu’elle ne contrôle rien ! Sans parler du coût des enveloppes et du « temps homme » consacré à les mettre à la poubelle… 

Les méfaits de l’auto-régulation Cette absence de contrôles est regrettable : dans une étude menée par ses services et publiée en 2004, l’Assurance fournisseur dentaire maladie a ainsi évalué que dans près d’un cas sur trois, la qualité des soins n’était pas au rendez-vous. 
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